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Fondateur avec Daevid Allen du mythique groupe “Gong”, Didier Malherbe a soufflé (saxophones, flûtes, ocarina, doudouk, sorte de haut-bois arménien, etc…) derrière Jacques Higelin, Brigitte Fontaine, Robert Wyatt, … En 1996 il fonde “Hadouk” avec le joueur de claviers (mais aussi de hajouj, un luth marocain ou de la kora mandingue) Loy Ehrlich, accompagnateur régulier de Youssou N’Dour, Toure Kunda ou Wasis Diop. Depuis 1999, ils sont rejoints par l’extraordinaire percussionniste Steve Shehan (il a joué avec Herbie Hancock, Bob Dylan, John McLaughlin, Brian Eno, …). Véritable invitation au voyage, jazz espiègle, blues léger, ondoiement balinais, éruption créole, world-jazz à la française… “Une musique sereine, pleine de maturité, une volupté douce et magique.”  Bouziane Daoudi (Libération)

Kora : sorte de harpe-luth de 21 à 32 cordes.
Après avoir dirigé l’Orchestre National du Sénégal, actuellement accompagnateur de Salif Keita, le pianiste Abdoulaye Diabaté a fondé ce trio avec le joueur de kora guinéen Djeli Moussa Diawara (il est le demi-frère de Mory Kante) et le percussionniste Moussa Cissoko, sénégalais lui aussi. Tous trois élevés dans la tradition musicale mandingue, ils inventent des passerelles vers le jazz. Ils jouent même “Now’s the time” de Charlie Parker. “Jouer “Giant Steps” à la kora, c’est pas possible ! Alors que l’écriture de Thelonious Monk, par exemple, s’y prête bien” déclare Abdoulaye Diabaté. Mélodies entêtantes, musique lumineuse, fraîche, inventive et jubilatoire. Jazz ou musique africaine ? Jazz et musique africaine !