RouenJazzAction http://www.rouenjazzaction.asso.fr/ Organisateur de concert Jazz sur Rouen depuis 1971 fr 2013-2024 © Copyright, tous droits réservés <![CDATA[06/12/2023 (20H00) : Leïla Olivesi (Rouen, Le 106)]]> Née au Moulin d’Andé, d’un père mauritanien et d’une mère corse, Leïla Olivesi a grandi à Paris dans l’effervescence artistique et cosmopolite de ses parents, entre Astor Piazzola et Nina Simone qui leur rendaient visite et la musique de Miles Davis et John Coltrane mais aussi de Mary Lou Williams qui tournait sur la platine. Elle a étudié avec Mulgrew Miller, avec les frères Belmondo et Glenn Ferris entre autres. Son dernier disque, le sixième, “Astral”, a reçu le prix Django Reinhardt en novembre 2022.

“La petite section de vent, à trois saxophones et une trompette, guitare et rythmique, qui sonne comme un big band, la poussée swing, la sophistication qui va vers la clarté musicale, séduisent, enchantent même.” (Sylvain Siclier, Le Monde).

“Raffinement extrême, rare pudeur, rien d’ostentatoire dans ses onze compositions originales, à laquelle s’ajoute “Scorpio”, une reprise de Mary Lou Williams. Un album qui fera à coup sûr date dans le jazz hexagonal” . (Noadya Arnoux, Jazz magazine) ]]>
<![CDATA[12/05/2021 (20H30) : Géraldine Laurent - [de nouveau Annulé] (Rouen, Le 106)]]> “Hormis un clin d’œil à Miles Davis [l’album Cookin’ de 1956], j’étais dans la continuité de mon précédent album “At Work” puisque l’on retrouve la même formation.
“At Work”, c’était l’idée d’être “en travaux”. Et “Cooking”, c’est “en cuisine”. Il y a évidemment beaucoup de liens entre la musique et la cuisine. En cuisine, il y a ce rapport totalement éphémère comparable à ce que nous faisons en jazz, puisque l’on triture, on peaufine des choses et au moment du “coup de feu”, on sert, on propose ce qu’on a cuisiné. C’est très métaphorique. Et bien sûr, j’aime tout ce qui touche à la cuisine et aux choses culinaires”. ]]>
<![CDATA[12/03/2021 (20H30) : Itamar Borochov quartet [de nouveau Annulé] (Rouen, Le 106)]]> Né dans une famille de musiciens, élevé dans la ville judéo/musulmane/chrétienne de Jaffa, à côté de Tel Aviv, Itamar Borochov a toujours entretenu cette richesse d’influences. Il a commencé à jouer de la trompette à l’âge de onze ans et s’est plongé dans la découverte du jazz, inspiré par la lignée de trompettes de Louis Armstrong, Clark Terry, Miles Davis, Kenny Dorham, Lee Morgan et Booker Little jusqu’à Wynton Marsalis, et citant l’influence du saxophone de Ben Webster pour son ton aéré, chaud mais mélancolique.
En 2006, Borochov a déménagé à New York, où il a suivi l’enseignement de Barry Harris, Junior Mance, Charles Tolliver, entre autres.
Son expressivité virtuose nous immerge à la fois dans la tradition du jazz et dans la recherche de ses origines personnelles aux sensibilités musicales juive séfarade, arabe et panafricaine.
Borochov a fait des tournées sur quatre continents et s’est produit dans des lieux prestigieux tels le Lincoln Center, le Blue Note à N.Y.C., le Ronnie Scott’s Jazz Club à Londres, et dans de grands festivals : Montréal, Moscou, Shanghai, etc…

“J’ai été ébloui par le son de sa trompette, incroyablement plein, charnu, cette façon de jouer sur l’air qui donne une fluidité étonnante, même dans le registre aigu. On ne se sent jamais l’effort : c’est du velours.” J.F. Mondot, Jazz Magazine ]]>
<![CDATA[28/05/2020 (20H30) : Mon Beau Quartet [Concert annulé] (Saint Jacques sur Darnétal, L'Entre-Seine)]]> Forts de cette complicité, ils décident de monter “Mon Beau Quartet” (MB4) en s’entourant d’un duo contrebasse/batterie de talent.
Débuts remarqués en 2018. D’abord conçu autour de quelques standards jazz et latin, le répertoire a fait de plus en plus place à des compositions originales rassemblant les influences cosmopolites de chacun : jazz et musique latine, bien sûr, mais aussi une petite dose de funk, de musiques du monde…
Et cette saison a vu le renouvellement complet du répertoire du groupe : 100 % compositions originales, laissant une place importante au voyage et à l’imaginaire. Le plaisir de jouer ensemble, c’est ce qui émane de ce quartet, la complicité entre les musiciens est immédiate et très communicative et on sent un grand bonheur à partager avec le public.
Invitation à un moment unique, rare, sur le fil, libre, simple, plein d’énergie et d’émotions. ]]>
<![CDATA[07/05/2020 (20H30) : Géraldine Laurent [Concert reporté au 2 décembre 2020 puis au 12 mai 2021] (Rouen, Le 106)]]> “Hormis un clin d’œil à Miles Davis [ l’album Cookin’ de 1956 ], j’étais dans la continuité de mon précédent album “At Work” puisque l’on retrouve la même formation.
“At Work”, c’était l’idée d’être “en travaux”. Et “Cooking”, c’est “en cuisine”. Il y a évidemment beaucoup de liens entre la musique et la cuisine. En cuisine, il y a ce rapport totalement éphémère comparable à ce que nous faisons en jazz, puisque l’on triture, on peaufine des choses et au moment du “coup de feu”, on sert, on propose ce qu’on a cuisiné. C’est très métaphorique. Et bien sûr, j’aime tout ce qui touche à la cuisine et aux choses culinaires”. ]]>
<![CDATA[25/03/2020 (20H30) : Itamar Borochov [Concert reporté au 13 novembre 2020] (Rouen, Le 106)]]> Né dans une famille de musiciens, élevé dans la ville judéo/musulmane/chrétienne de Jaffa, à côté de Tel Aviv, Itamar Borochov a toujours entretenu cette richesse d’influences. Il a commencé à jouer de la trompette à l’âge de onze ans et s’est plongé dans la découverte du jazz, inspiré par la lignée de trompettes de Louis Armstrong, Clark Terry, Miles Davis, Kenny Dorham, Lee Morgan et Booker Little jusqu’à Wynton Marsalis, et citant l’influence du saxophone de Ben Webster pour son ton aéré, chaud mais mélancolique.
En 2006, Borochov a déménagé à New York, où il a suivi l’enseignement de Barry Harris, Junior Mance, Charles Tolliver, entre autres.
Son expressivité virtuose nous immerge à la fois dans la tradition du jazz et dans la recherche de ses origines personnelles aux sensibilités musicales juive séfarade, arabe et panafricaine.
Borochov a fait des tournées sur quatre continents et s’est produit dans des lieux prestigieux tels le Lincoln Center, le Blue Note à N.Y.C., le Ronnie Scott’s Jazz Club à Londres, et dans de grands festivals : Montréal, Moscou, Shanghai, etc…

“J’ai été ébloui par le son de sa trompette, incroyablement plein, charnu, cette façon de jouer sur l’air qui donne une fluidité étonnante, même dans le registre aigu. On ne se sent jamais l’effort : c’est du velours.” J.F. Mondot, Jazz Magazine ]]>
<![CDATA[11/02/2020 (20H30) : Rymden (Rouen, Le 106)]]> La rencontre entre ces deux collectifs incontournables du jazz européen a fini par se concrétiser. Avec la formation l’an passé de “Rymden” (qui en suédois signifie “espace”), nouveau trio autour de Bugge Wesseltoft, avec Dan Berglund et Magnus Öström, (aujourd’hui orphelins d’Esbjörn Svensson), nous sommes en présence d’une musique qui est résolument ancrée dans la culture scandinave. Musique pleine de dynamisme, d’atmosphère sombre ou mélancolique qui offre des drames en cascade, des collisions et des éclaboussures, des tensions et des libérations, de mélodiques riffs à l’unisson et des moments de menace qui grondent, un minimalisme immergé dans de riches tapisseries improvisées.
Fascinant !

Ouverture des portes à 20h00, début du concert à 20h30
Tout assis, salle disposée en amphithéâtre. ]]>
<![CDATA[04/12/2019 (20H30) : Madeleine Peyroux (Rouen, Le 106)]]> Huit albums jusqu’à son dernier intitulé Anthem : à côté de nouvelles chansons comme All my heroes où elle tresse une multitude d’histoires différentes, deux reprises : le poème Liberté de Paul Éluard (en français) et la chanson qui donne son titre à l’ensemble, le monumental Anthem de son idole Leonard Cohen.
“J’ai entendu du blues dans mon enfance. Pour moi, ça nous rassemble”. Mais son blues n’est pas le Chicago blues urbain et électrique mais plutôt le blues profond du sud rural, celui qui évoque une consolation, une certaine forme d’apaisement.
Avec un regard sobre, poétique et parfois même philosophique sur l’état actuel du monde, Madeleine Peyroux vient en Europe avec une superbe équipe, en particulier le guitariste Jon Herington, de Steely Dan. ]]>
<![CDATA[08/11/2019 (20H30) : Christian Sands "High Wire" trio (Saint Jacques sur Darnétal, L'Entre-Seine)]]> Émule du grand Billy Taylor, puis longtemps partenaire de Chris McBride, adoubé par Gregory Porter et par Wynton Marsalis, Christian Sands possède un langage instrumental qui invoque toute l’histoire de son instrument, tout en réussissant à rester d’une grande modernité.
Alors qu’il vient de publier le très beau Facing Dragons, Christian Sands présentera un nouveau répertoire, en hommage à l’une des figures les plus importantes de l’histoire du jazz, qui a projeté la formule du «piano trio» dans l’ère moderne : Erroll Garner. ]]>
<![CDATA[15/10/2019 (20H30) : Rymden [Concert reporté au mardi 11 février 2020] (Rouen, Le 106)]]> Le concert de Rymden prévu le 15 octobre est reporté : Il aura lieu le mardi 11 février 2020.
Les billets restent valables. Toutefois, les personnes qui le souhaiteraient peuvent se faire rembourser dans les points de vente dans un délai de deux mois.

Pendant des années, deux groupes “E.S.T.” d’Esbjörn Svensson et “New conception of jazz” de Bugge Wesseltoft ont expérimenté et produit parmi les meilleures musiques enregistrées et les plus beaux concerts en live.
La rencontre entre ces deux collectifs incontournables du jazz européen a fini par se concrétiser. Avec la formation l’an passé de “Rymden” (qui en suédois signifie “espace”), nouveau trio autour de Bugge Wesseltoft, avec Dan Berglund et Magnus Öström, (aujourd’hui orphelins d’Esbjörn Svensson), nous sommes en présence d’une musique qui est résolument ancrée dans la culture scandinave. Musique pleine de dynamisme, d’atmosphère sombre ou mélancolique qui offre des drames en cascade, des collisions et des éclaboussures, des tensions et des libérations, de mélodiques riffs à l’unisson et des moments de menace qui grondent, un minimalisme immergé dans de riches tapisseries improvisées.
Fascinant ! ]]>