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Du jazz avec une touche latine ! Originaire de Panama, Danilo Pérez s’est fait connaitre au sein du quintet de Paquito D’Rivera lequel l’amènera à Dizzy Gillespie chez qui il jouera pendant quatre ans. Au décès de Dizzy (janvier 93), Danilo a 26 ans, il commence alors à jouer en leader, souvent en trio ou avec le saxophoniste David Sanchez. Il a consacré un disque entier à Thelonious Monk mais il est tout autant passionné par Bill Evans que par Jelly Roll Morton ou Duke Ellington. A New York son trio est aujourd’hui considéré comme le meilleur groupe sur scène de l’année.
  “Quel swing ! Soutien rythmique des plus stimulants. Palpitant” Paul Benkimoun (Jazz Magazine)

On l’a découvert dans le quartet de Joshua Redman. Depuis, il cultive son “art du trio”, titre qu’il a donné à ses trois derniers CD. “Je suis fasciné par le mystère de la musique. Ce sentiment de l’inexplicable dans l’intensité, dans la transmission émotionnelle. J’aime surtout que la musique exprime ce qui est pour moi la clé de l’art moderne : l’ironie. Vous pouvez avoir une fin joyeuse mais le sentiment reste que ça n’a pas été gai tout le temps, qu’il y a eu beaucoup de lutte et de souffrance”.  Un grand pianiste et un vrai trio. Virtuosité affolante, sensibilité écorchée, talent hors du commun.
“Brad Mehldau éblouit par sa capacité à raconter des histoires sur son clavier, le bonheur est au rendez-vous.”  Pascal Anquetil (JazzMan)